14 mars 2023
Il se trouve que ma vie se répartit de façon assez équilibrée entre la Grande Bretagne (mon pays d’origine) et la France (mon pays d’adoption où je vis depuis plus de 20 ans).
Cela m’a permis d’observer pas mal de petites (et de grandes !) différences y compris dans le domaine de l’investissement.
J’ai commencé à investir dans des actions vers mes 16-17 ans pour découvrir le monde économique et gagner en autonomie financière. Pour mes parents, ça allait de pair avec l’ouverture d’un compte bancaire et des comptes d’épargne plus classiques de type livret.
Mon père m’a orienté vers des ‘Investment Trusts’ plutôt généralistes (équivalents à une SICAV) pour commencer. Ces fonds racontent leurs stratégies d’investissement, leur vision de l’économie et leur performance de façon détaillée et transparente. C’est donc en lisant leurs rapports annuels que j’ai commencé à mieux appréhender ce monde.
Par exemple, le rapport annuel de 2021 de ‘Foreign & Colonial’ (un de mes premiers investissements à l’époque) détaille les 20 investissements cotés les plus importants, évoque de gros gains et pertes sur l’année (par exemple, ‘Wells Fargo’ +65%). Enfin, les frais de gestion sont présentés de façon claire et sont peu élevés (0,4% en 2021).
Tout cela m’a permis de gagner en confiance et plus tard, quand j’ai voulu épargner pour ma retraite au début de ma vie professionnelle, j’ai investi directement dans quelques entreprises qui me paraissaient solides et durables. Sans devenir un ‘Warren Buffet’, j’ai constitué un peu d’épargne et je pensais avoir compris un peu à l’investissement…
J’étais bien embêté en arrivant en France de découvrir que le système fonctionnait tout autrement.
D’abord, c’était beaucoup plus compliqué d’investir directement – il fallait passer par un courtier / conseiller. Cet intermédiaire ‘poussait’ les produits d’un ou plusieurs réseaux partenaires – le choix était limité à ce qu’ils avaient dans les besaces – et il s’agissait souvent de produits avec des noms qui évoquaient la performance ou la stabilité et le nom d’une institution financière ou un indice de référence genre, ‘Optima Gain Eurostoxx 50’.
Par ailleurs, on parlait de l’investissement comme un outil d’optimisation fiscale. J’ai appris l’existence des ‘assurances vie’ sans vraiment comprendre leur intérêt sur le plan de la performance d’un investissement. Le tout était de payer moins d’impôts plus tard.
Ensuite, tout était plus opaque, les documents dont on pouvait disposer racontaient le moins de choses possible. En tant qu’épargnant, je recevais peu ou pas d’explications concernant les choix stratégiques du gestionnaire à part des indicateurs de performance.
C’était également plus compliqué de vendre ou d’acheter mes investissements à moins de rejoindre une plateforme dédiée à des personnes qui achetaient et vendaient fréquemment. Enfin, le ‘prix’ de cette gestion était souvent beaucoup plus élevé que ce que j’avais l’habitude de payer au Royaume-Uni (typiquement au moins 1,0% voire plus) mais sans justification – c’était le prix du marché et il fallait faire avec !
Quand Eric, le fondateur de ‘Chloé in the Sky’ m’a parlé de son projet, j’étais à la fois curieux et (un peu) méfiant. Curieux car, comme lui, je suis convaincu que les choses doivent bouger en profondeur pour qu’on décarbone notre économie et que l’épargne a forcément un grand rôle à jouer. Méfiant, car je me suis dit qu’on partirait forcément dans une mouvance ‘à la française’ avec un nom institutionnel comme ‘Gestion d’Épargne pour une Transition Décarbonisante’ ou un acronyme et que nous nous mettrions directement avec un grand partenaire pour vendre leurs fonds.
Or, il n’en est rien, nous sommes plus proches de mes expériences anglaises dans notre désir d’accompagner l’épargnant, même si nous avons des spécificités bien françaises notamment un scepticisme sain sur le ‘green washing’ qui mélange la décarbonisation avec plein d’autres sujets et qui est, malheureusement, assez présent outre-manche ou tout fonds se doit de parler de son impact écologique même si elle n’a pas de vraie stratégie sur la décarbonisation.
Concrètement, nous souhaitons que ‘Chloé in the sky’ nous aide tous à faire de l’épargne autrement dans un environnement qui sera plus complexe, plus chaotique et où il faudra faire émerger d’autres modèles économiques plus frugaux et plus durables pour remplacer la quête de la croissance économique à tout prix.
Pour agir avec confiance dans ce nouveau monde, il faut donc épargner de façon transparente, simple et volontaire :
Transparente : nous vous expliquerons pourquoi nous avons choisi d’investir dans une organisation et quelle est sa contribution à une économie durable et décarbonée. Cette communication va s’appuyer sur des chiffres objectifs et fiables sur la performance économique et écologique de ces entreprises.
Simple : plus le monde est compliqué, plus nous nous devons de vous expliquer notre stratégie et rester disponible et accessible pour la porter avec les épargnants. Cela ne veut pas dire que les choix à faire seront simples et que nous aurons toujours raison mais on se doit de simplifier notre démarche pour vous accompagner.
Volontaire :pour vous aider à faire des choix sur votre épargne et ne pas juste subir nos décisions. Car il faudra apprendre tous ensemble à investir dans l’économie de demain et cette action collective ne peut pas passer par des ‘boîtes noires’ mais par des écosystèmes dynamiques et vivants où l’épargnant est impliqué et n’est pas juste là pour verser des sous.
Guy WESTON-SMITH
Co-fondateur Chloé in the sky
14 mars 2023
Il se trouve que ma vie se répartit de façon assez équilibrée entre la Grande Bretagne (mon pays d’origine) et la France (mon pays d’adoption où je vis depuis plus de 20 ans).
Cela m’a permis d’observer pas mal de petites (et de grandes !) différences y compris dans le domaine de l’investissement.
J’ai commencé à investir dans des actions vers mes 16-17 ans pour découvrir le monde économique et gagner en autonomie financière. Pour mes parents, ça allait de pair avec l’ouverture d’un compte bancaire et des comptes d’épargne plus classiques de type livret.
Mon père m’a orienté vers des ‘Investment Trusts’ plutôt généralistes (équivalents à une SICAV) pour commencer. Ces fonds racontent leurs stratégies d’investissement, leur vision de l’économie et leur performance de façon détaillée et transparente. C’est donc en lisant leurs rapports annuels que j’ai commencé à mieux appréhender ce monde.
Par exemple, le rapport annuel de 2021 de ‘Foreign & Colonial’ (un de mes premiers investissements à l’époque) détaille les 20 investissements cotés les plus importants, évoque de gros gains et pertes sur l’année (par exemple, ‘Wells Fargo’ +65%). Enfin, les frais de gestion sont présentés de façon claire et sont peu élevés (0,4% en 2021).
Tout cela m’a permis de gagner en confiance et plus tard, quand j’ai voulu épargner pour ma retraite au début de ma vie professionnelle, j’ai investi directement dans quelques entreprises qui me paraissaient solides et durables. Sans devenir un ‘Warren Buffet’, j’ai constitué un peu d’épargne et je pensais avoir compris un peu à l’investissement…
J’étais bien embêté en arrivant en France de découvrir que le système fonctionnait tout autrement.
D’abord, c’était beaucoup plus compliqué d’investir directement – il fallait passer par un courtier / conseiller. Cet intermédiaire ‘poussait’ les produits d’un ou plusieurs réseaux partenaires – le choix était limité à ce qu’ils avaient dans les besaces – et il s’agissait souvent de produits avec des noms qui évoquaient la performance ou la stabilité et le nom d’une institution financière ou un indice de référence genre, ‘Optima Gain Eurostoxx 50’.
Par ailleurs, on parlait de l’investissement comme un outil d’optimisation fiscale. J’ai appris l’existence des ‘assurances vie’ sans vraiment comprendre leur intérêt sur le plan de la performance d’un investissement. Le tout était de payer moins d’impôts plus tard.
Ensuite, tout était plus opaque, les documents dont on pouvait disposer racontaient le moins de choses possible. En tant qu’épargnant, je recevais peu ou pas d’explications concernant les choix stratégiques du gestionnaire à part des indicateurs de performance.
C’était également plus compliqué de vendre ou d’acheter mes investissements à moins de rejoindre une plateforme dédiée à des personnes qui achetaient et vendaient fréquemment. Enfin, le ‘prix’ de cette gestion était souvent beaucoup plus élevé que ce que j’avais l’habitude de payer au Royaume-Uni (typiquement au moins 1,0% voire plus) mais sans justification – c’était le prix du marché et il fallait faire avec !
Quand Eric, le fondateur de ‘Chloé in the Sky’ m’a parlé de son projet, j’étais à la fois curieux et (un peu) méfiant. Curieux car, comme lui, je suis convaincu que les choses doivent bouger en profondeur pour qu’on décarbone notre économie et que l’épargne a forcément un grand rôle à jouer. Méfiant, car je me suis dit qu’on partirait forcément dans une mouvance ‘à la française’ avec un nom institutionnel comme ‘Gestion d’Épargne pour une Transition Décarbonisante’ ou un acronyme et que nous nous mettrions directement avec un grand partenaire pour vendre leurs fonds.
Or, il n’en est rien, nous sommes plus proches de mes expériences anglaises dans notre désir d’accompagner l’épargnant, même si nous avons des spécificités bien françaises notamment un scepticisme sain sur le ‘green washing’ qui mélange la décarbonisation avec plein d’autres sujets et qui est, malheureusement, assez présent outre-manche ou tout fonds se doit de parler de son impact écologique même si elle n’a pas de vraie stratégie sur la décarbonisation.
Concrètement, nous souhaitons que ‘Chloé in the sky’ nous aide tous à faire de l’épargne autrement dans un environnement qui sera plus complexe, plus chaotique et où il faudra faire émerger d’autres modèles économiques plus frugaux et plus durables pour remplacer la quête de la croissance économique à tout prix.
Pour agir avec confiance dans ce nouveau monde, il faut donc épargner de façon transparente, simple et volontaire :
Transparente : nous vous expliquerons pourquoi nous avons choisi d’investir dans une organisation et quelle est sa contribution à une économie durable et décarbonée. Cette communication va s’appuyer sur des chiffres objectifs et fiables sur la performance économique et écologique de ces entreprises.
Simple : plus le monde est compliqué, plus nous nous devons de vous expliquer notre stratégie et rester disponible et accessible pour la porter avec les épargnants. Cela ne veut pas dire que les choix à faire seront simples et que nous aurons toujours raison mais on se doit de simplifier notre démarche pour vous accompagner.
Volontaire :pour vous aider à faire des choix sur votre épargne et ne pas juste subir nos décisions. Car il faudra apprendre tous ensemble à investir dans l’économie de demain et cette action collective ne peut pas passer par des ‘boîtes noires’ mais par des écosystèmes dynamiques et vivants où l’épargnant est impliqué et n’est pas juste là pour verser des sous.
Guy WESTON-SMITH
Co-fondateur Chloé in the sky
14 mars 2023
Il se trouve que ma vie se répartit de façon assez équilibrée entre la Grande Bretagne (mon pays d’origine) et la France (mon pays d’adoption où je vis depuis plus de 20 ans).
Cela m’a permis d’observer pas mal de petites (et de grandes !) différences y compris dans le domaine de l’investissement.
J’ai commencé à investir dans des actions vers mes 16-17 ans pour découvrir le monde économique et gagner en autonomie financière. Pour mes parents, ça allait de pair avec l’ouverture d’un compte bancaire et des comptes d’épargne plus classiques de type livret.
Mon père m’a orienté vers des ‘Investment Trusts’ plutôt généralistes (équivalents à une SICAV) pour commencer. Ces fonds racontent leurs stratégies d’investissement, leur vision de l’économie et leur performance de façon détaillée et transparente. C’est donc en lisant leurs rapports annuels que j’ai commencé à mieux appréhender ce monde.
Par exemple, le rapport annuel de 2021 de ‘Foreign & Colonial’ (un de mes premiers investissements à l’époque) détaille les 20 investissements cotés les plus importants, évoque de gros gains et pertes sur l’année (par exemple, ‘Wells Fargo’ +65%). Enfin, les frais de gestion sont présentés de façon claire et sont peu élevés (0,4% en 2021).
Tout cela m’a permis de gagner en confiance et plus tard, quand j’ai voulu épargner pour ma retraite au début de ma vie professionnelle, j’ai investi directement dans quelques entreprises qui me paraissaient solides et durables. Sans devenir un ‘Warren Buffet’, j’ai constitué un peu d’épargne et je pensais avoir compris un peu à l’investissement…
J’étais bien embêté en arrivant en France de découvrir que le système fonctionnait tout autrement.
D’abord, c’était beaucoup plus compliqué d’investir directement – il fallait passer par un courtier / conseiller. Cet intermédiaire ‘poussait’ les produits d’un ou plusieurs réseaux partenaires – le choix était limité à ce qu’ils avaient dans les besaces – et il s’agissait souvent de produits avec des noms qui évoquaient la performance ou la stabilité et le nom d’une institution financière ou un indice de référence genre, ‘Optima Gain Eurostoxx 50’.
Par ailleurs, on parlait de l’investissement comme un outil d’optimisation fiscale. J’ai appris l’existence des ‘assurances vie’ sans vraiment comprendre leur intérêt sur le plan de la performance d’un investissement. Le tout était de payer moins d’impôts plus tard.
Ensuite, tout était plus opaque, les documents dont on pouvait disposer racontaient le moins de choses possible. En tant qu’épargnant, je recevais peu ou pas d’explications concernant les choix stratégiques du gestionnaire à part des indicateurs de performance.
C’était également plus compliqué de vendre ou d’acheter mes investissements à moins de rejoindre une plateforme dédiée à des personnes qui achetaient et vendaient fréquemment. Enfin, le ‘prix’ de cette gestion était souvent beaucoup plus élevé que ce que j’avais l’habitude de payer au Royaume-Uni (typiquement au moins 1,0% voire plus) mais sans justification – c’était le prix du marché et il fallait faire avec !
Quand Eric, le fondateur de ‘Chloé in the Sky’ m’a parlé de son projet, j’étais à la fois curieux et (un peu) méfiant. Curieux car, comme lui, je suis convaincu que les choses doivent bouger en profondeur pour qu’on décarbone notre économie et que l’épargne a forcément un grand rôle à jouer. Méfiant, car je me suis dit qu’on partirait forcément dans une mouvance ‘à la française’ avec un nom institutionnel comme ‘Gestion d’Épargne pour une Transition Décarbonisante’ ou un acronyme et que nous nous mettrions directement avec un grand partenaire pour vendre leurs fonds.
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