31 mars 2023
« Quand décroissance rime avec indécence », l’analyse de Pierre-Antoine Delhommais, dans Le Point du 06/03/2023, semble attribuer à Sandrine Rousseau la paternité du concept de décroissance.
Ce qui rappelle le grand débat entre Mitterrand et Giscard pour les présidentielles de 1981.
De la même manière que Mitterrand indiquait à son adversaire qu’il n’avait pas « le monopole du cœur », Sandrine Rousseau, la Nouvelle Union Populaire Ecologique et Sociale (NUPES) ou d’autres partis politiques n’ont pas le monopole du concept de la décroissance !
Ceci étant posé, l’article oppose une décroissance « masturbation intellectuelle de gosse de riches » et les bienfaits de la croissance pour le bonheur de tous, « individuellement et collectivement ». Or, la décroissance n’est pas qu’une théorie fumeuse, une idéologie bornée, une tartufferie, mais peut-être un élément avec lequel l’économie doit composer, qu’elle le veuille ou non. Et même si la contraction de notre économie ne peut être confirmée catégoriquement et scientifiquement, avons-nous, finalement, vraiment le choix ?
Certaines analyses, construites avec rigueur, contrarient fortement le principe de croissance parée de toutes les vertus développé par Pierre-Antoine Delhommais :
Comment enfin agir concrètement et directement pour décarboner l’économie ? En utilisant l’investissement .
C’est la conviction et la proposition de Chloé in the sky : des investissements alignés sur les accords les plus ambitieux de la COP 21 à 1,5°C. Une méthodologie qui retient les secteurs vitaux de notre économie, sous très forte contrainte avec, parfois, des défis contradictoires, dans une réflexion systémique la plus globale possible.
Sommes-nous indécents si nos données extra financières dessinent un monde où faire mieux pour préserver notre climat et notre biodiversité va de pair avec faire moins (décroissance) de manière contrainte ou forcée (crise énergétique…et climatique…) ?
La caricature de la décroissance, concept de « bobos qui cultivent trois malheureux poireaux dans un potager urbain », est tout aussi contre-productive que celle qui consiste à dépeindre les entreprises qui investissent et innovent réellement pour réduire leurs impacts négatifs sur la planète en « entités démoniaques et inhumaines », car capitalistes.
Restons pragmatiques, trouvons un juste milieu constructif, mais avec le bon diagnostic !
C’est notre positionnement chez Chloé in the sky
31 mars 2023
« Quand décroissance rime avec indécence », l’analyse de Pierre-Antoine Delhommais, dans Le Point du 06/03/2023, semble attribuer à Sandrine Rousseau la paternité du concept de décroissance.
Ce qui rappelle le grand débat entre Mitterrand et Giscard pour les présidentielles de 1981.
De la même manière que Mitterrand indiquait à son adversaire qu’il n’avait pas « le monopole du cœur », Sandrine Rousseau, la Nouvelle Union Populaire Ecologique et Sociale (NUPES) ou d’autres partis politiques n’ont pas le monopole du concept de la décroissance !
Ceci étant posé, l’article oppose une décroissance « masturbation intellectuelle de gosse de riches » et les bienfaits de la croissance pour le bonheur de tous, « individuellement et collectivement ». Or, la décroissance n’est pas qu’une théorie fumeuse, une idéologie bornée, une tartufferie, mais peut-être un élément avec lequel l’économie doit composer, qu’elle le veuille ou non. Et même si la contraction de notre économie ne peut être confirmée catégoriquement et scientifiquement, avons-nous, finalement, vraiment le choix ?
Certaines analyses, construites avec rigueur, contrarient fortement le principe de croissance parée de toutes les vertus développé par Pierre-Antoine Delhommais :
Comment enfin agir concrètement et directement pour décarboner l’économie ? En utilisant l’investissement .
C’est la conviction et la proposition de Chloé in the sky : des investissements alignés sur les accords les plus ambitieux de la COP 21 à 1,5°C. Une méthodologie qui retient les secteurs vitaux de notre économie, sous très forte contrainte avec, parfois, des défis contradictoires, dans une réflexion systémique la plus globale possible.
Sommes-nous indécents si nos données extra financières dessinent un monde où faire mieux pour préserver notre climat et notre biodiversité va de pair avec faire moins (décroissance) de manière contrainte ou forcée (crise énergétique…et climatique…) ?
La caricature de la décroissance, concept de « bobos qui cultivent trois malheureux poireaux dans un potager urbain », est tout aussi contre-productive que celle qui consiste à dépeindre les entreprises qui investissent et innovent réellement pour réduire leurs impacts négatifs sur la planète en « entités démoniaques et inhumaines », car capitalistes.
Restons pragmatiques, trouvons un juste milieu constructif, mais avec le bon diagnostic !
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« Quand décroissance rime avec indécence », l’analyse de Pierre-Antoine Delhommais, dans Le Point du 06/03/2023, semble attribuer à Sandrine Rousseau la paternité du concept de décroissance.
Ce qui rappelle le grand débat entre Mitterrand et Giscard pour les présidentielles de 1981.
De la même manière que Mitterrand indiquait à son adversaire qu’il n’avait pas « le monopole du cœur », Sandrine Rousseau, la Nouvelle Union Populaire Ecologique et Sociale (NUPES) ou d’autres partis politiques n’ont pas le monopole du concept de la décroissance !
Ceci étant posé, l’article oppose une décroissance « masturbation intellectuelle de gosse de riches » et les bienfaits de la croissance pour le bonheur de tous, « individuellement et collectivement ». Or, la décroissance n’est pas qu’une théorie fumeuse, une idéologie bornée, une tartufferie, mais peut-être un élément avec lequel l’économie doit composer, qu’elle le veuille ou non. Et même si la contraction de notre économie ne peut être confirmée catégoriquement et scientifiquement, avons-nous, finalement, vraiment le choix ?
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RCS : 899173629
Chloé in the sky est une Société par Action Simplifiée
(SAS) immatriculée à l’ORIAS au numéro 21005578 en date du 25/06/2021 en tant que Conseiller en Investissement Financier (CIF) et courtier en assurance (COA).
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