24 mai 2023
Retrouver le bon sens paysans sur des sujets complexes c’est possible !
Il n’y a finalement rien de sorcier dans la compréhension d’un investissement et de son impact. Du moins, lorsque la transparence est de rigueur. Et c’est une des valeurs que je défendrai quoi qu’il en coûte ! C’est pour cela que je mène des investigations minutieuses sur les entreprises que je pense, au premier regard, être pertinentes pour des investissements « cohérents ». Mais qu’est-ce que j’entends par là ?
Pour le comprendre, voici les critères que j’ai définis et sur lesquels je m’appuie pour construire des portefeuilles cohérents :
Les questions énergétiques, climatiques et de la biodiversité prédominent à toutes les autres sur les enjeux ESG de la finance.
Le social doit être envisagé absolument par le prisme des questions environnementales.
Si le climat s’emballe, toute l’économie sera détruite.
Si l’énergie manque, on ne peut rien produire.
Si notre biodiversité n’est pas préservée autant que possible, notre humanité est en péril et
entrainera dans sa chute, son système économique organisé (ou pas) qui va avec.
La dimension sociale, dans sa définition la plus large, se construit à partir d’une structure économique qui la finance et l’organise. Cette même économie doit et devra composer,
avec une intensité croissante, des trois défis principaux de l’économie « responsable » : l’énergie, le climat et la biodiversité.
La définition de la finance, la plus humaine possible, doit être pensée par le prisme de ses trois axes principaux. Tous les raisonnements et constructions de normes sociales et de gouvernance qui n’intègrent pas dans leurs constructions ses trois défis seront bancals dans leur conception.
Dans un monde économique heurté par les défis énergétique et climatique, le bon conseiller en investissement qui se respecte doit orienter les investissements de ses épargnants sur les secteurs les plus résilients, ceux qui ont le plus de chance de s’adapter aux fortes contraintes qui se précisent de plus en plus. La résilience financière se trouve dans les secteurs essentiels. Les meilleures entreprises des secteurs essentiels auront très certainement plus de chance de résister aux instabilités économiques à venir que des secteurs non essentiels, même s’ils sont actuellement, ou ont été les années passées, bien portants.
Le rapport de synthèse de mars 2023 du GIEC est très clair, chaque degré compte. Cet alignement est contraignant lorsqu’il est constitué de secteurs essentiels qui sont, pour leur plus grand nombre, massivement et intrinsèquement énergivore. Mais la contrainte ne me fait pas reculer, l’enjeux est trop important pour être ignoré : je m’assure que les portefeuilles Chloé in the sky soient alignés avec les objectifs les plus exigeants de la COP21. Une épargne à impact sinon rien !
Le vieil adage « ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier » prend tout son sens dans un monde économique qui sera sous forte contrainte énergétique et climatique. La diversification permet de répartir les risques d’investissements sur différents secteurs.
L’objectif est qu’ils soient suffisamment nombreux dans un portefeuille d’action tout en étant essentiels.
Chloé.
24 mai 2023
Retrouver le bon sens paysans sur des sujets complexes c’est possible !
Il n’y a finalement rien de sorcier dans la compréhension d’un investissement et de son impact. Du moins, lorsque la transparence est de rigueur. Et c’est une des valeurs que je défendrai quoi qu’il en coûte ! C’est pour cela que je mène des investigations minutieuses sur les entreprises que je pense, au premier regard, être pertinentes pour des investissements « cohérents ». Mais qu’est-ce que j’entends par là ?
Pour le comprendre, voici les critères que j’ai définis et sur lesquels je m’appuie pour construire des portefeuilles cohérents :
Les questions énergétiques, climatiques et de la biodiversité prédominent à toutes les autres sur les enjeux ESG de la finance.
Le social doit être envisagé absolument par le prisme des questions environnementales.
Si le climat s’emballe, toute l’économie sera détruite.
Si l’énergie manque, on ne peut rien produire.
Si notre biodiversité n’est pas préservée autant que possible, notre humanité est en péril et
entrainera dans sa chute, son système économique organisé (ou pas) qui va avec.
La dimension sociale, dans sa définition la plus large, se construit à partir d’une structure économique qui la finance et l’organise. Cette même économie doit et devra composer,
avec une intensité croissante, des trois défis principaux de l’économie « responsable » : l’énergie, le climat et la biodiversité.
La définition de la finance, la plus humaine possible, doit être pensée par le prisme de ses trois axes principaux. Tous les raisonnements et constructions de normes sociales et de gouvernance qui n’intègrent pas dans leurs constructions ses trois défis seront bancals dans leur conception.
Dans un monde économique heurté par les défis énergétique et climatique, le bon conseiller en investissement qui se respecte doit orienter les investissements de ses épargnants sur les secteurs les plus résilients, ceux qui ont le plus de chance de s’adapter aux fortes contraintes qui se précisent de plus en plus. La résilience financière se trouve dans les secteurs essentiels. Les meilleures entreprises des secteurs essentiels auront très certainement plus de chance de résister aux instabilités économiques à venir que des secteurs non essentiels, même s’ils sont actuellement, ou ont été les années passées, bien portants.
Le rapport de synthèse de mars 2023 du GIEC est très clair, chaque degré compte. Cet alignement est contraignant lorsqu’il est constitué de secteurs essentiels qui sont, pour leur plus grand nombre, massivement et intrinsèquement énergivore. Mais la contrainte ne me fait pas reculer, l’enjeux est trop important pour être ignoré : je m’assure que les portefeuilles Chloé in the sky soient alignés avec les objectifs les plus exigeants de la COP21. Une épargne à impact sinon rien !
Le vieil adage « ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier » prend tout son sens dans un monde économique qui sera sous forte contrainte énergétique et climatique. La diversification permet de répartir les risques d’investissements sur différents secteurs.
L’objectif est qu’ils soient suffisamment nombreux dans un portefeuille d’action tout en étant essentiels.
Chloé.
24 mai 2023
Retrouver le bon sens paysans sur des sujets complexes c’est possible !
Il n’y a finalement rien de sorcier dans la compréhension d’un investissement et de son impact. Du moins, lorsque la transparence est de rigueur. Et c’est une des valeurs que je défendrai quoi qu’il en coûte ! C’est pour cela que je mène des investigations minutieuses sur les entreprises que je pense, au premier regard, être pertinentes pour des investissements « cohérents ». Mais qu’est-ce que j’entends par là ?
Pour le comprendre, voici les critères que j’ai définis et sur lesquels je m’appuie pour construire des portefeuilles cohérents :
Les questions énergétiques, climatiques et de la biodiversité prédominent à toutes les autres sur les enjeux ESG de la finance.
Le social doit être envisagé absolument par le prisme des questions environnementales.
Si le climat s’emballe, toute l’économie sera détruite.
Si l’énergie manque, on ne peut rien produire.
Si notre biodiversité n’est pas préservée autant que possible, notre humanité est en péril et
entrainera dans sa chute, son système économique organisé (ou pas) qui va avec.
La dimension sociale, dans sa définition la plus large, se construit à partir d’une structure économique qui la finance et l’organise. Cette même économie doit et devra composer,
avec une intensité croissante, des trois défis principaux de l’économie « responsable » : l’énergie, le climat et la biodiversité.
La définition de la finance, la plus humaine possible, doit être pensée par le prisme de ses trois axes principaux. Tous les raisonnements et constructions de normes sociales et de gouvernance qui n’intègrent pas dans leurs constructions ses trois défis seront bancals dans leur conception.
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