« La transition juste ne pourra se faire sans la dimension sociale », l’intéressante tribune du président de la FAIR, Mr Frédéric Tiberghien, remet une nouvelle fois en perspective le délicat sujet de ce qui définit l’économie « responsable » et la question de la priorisation des sujets. Il regrette que la réglementation européenne sur la transparence de l’information financière donne la priorité aux indicateurs environnementaux.
Pour que la dimension sociale de l’économie existe, il faut, à la base…une économie.
Si le climat s’emballe, toute l’économie sera détruite ; si l’énergie manque, on ne peut rien produire. Si notre biodiversité n’est pas préservée autant que possible, notre humanité est en péril et entrainera dans sa chute, son système économique organisé (ou pas) qui va avec.
La dimension sociale, aussi importante qu’elle puisse être, est tributaire des paramètres économiques qui la structurent et la financent. Cette même économie doit et devra composer de plus en plus avec les contraintes liées aux défis énergétiques, climatiques et de biodiversité.
Le social doit être envisagé absolument par le prisme des questions environnementales. Sinon, on risque de mettre, dans nos actions financières, des pans entiers de notre économie « sous le tapis ».
En effet, certaines industries lourdes, mais totalement essentielles à notre économie « verte », passent très difficilement le filtre extra-financier du volet social.
La chimie, les mines, la métallurgie, etc., on met tout ce beau monde aux oubliettes, car la dimension sociale de ces secteurs laisserait à désirer ? Notre économie ne marche pas au carburant des dimensions sociales ! Et cette notion, sans une vision systémique de notre économie, aurait un impact négligeable ! Elle serait manichéenne ! Il n’existe pas de réponses faciles, transformables en label et prêtes à la consommation.
Le sujet environnemental, c’est le combat le plus vital pour intégrer efficacement la dimension sociale. L’inverse n’est pas vrai !
➡️ Retrouvez la position de Chloé in the sky : La tribune de Chloé sur la hiérarchisation des enjeux dans le cercle des Échos
« La transition juste ne pourra se faire sans la dimension sociale », l’intéressante tribune du président de la FAIR, Mr Frédéric Tiberghien, remet une nouvelle fois en perspective le délicat sujet de ce qui définit l’économie « responsable » et la question de la priorisation des sujets. Il regrette que la réglementation européenne sur la transparence de l’information financière donne la priorité aux indicateurs environnementaux.
Pour que la dimension sociale de l’économie existe, il faut, à la base…une économie.
Si le climat s’emballe, toute l’économie sera détruite ; si l’énergie manque, on ne peut rien produire. Si notre biodiversité n’est pas préservée autant que possible, notre humanité est en péril et entrainera dans sa chute, son système économique organisé (ou pas) qui va avec.
La dimension sociale, aussi importante qu’elle puisse être, est tributaire des paramètres économiques qui la structurent et la financent. Cette même économie doit et devra composer de plus en plus avec les contraintes liées aux défis énergétiques, climatiques et de biodiversité.
Le social doit être envisagé absolument par le prisme des questions environnementales. Sinon, on risque de mettre, dans nos actions financières, des pans entiers de notre économie « sous le tapis ».
En effet, certaines industries lourdes, mais totalement essentielles à notre économie « verte », passent très difficilement le filtre extra-financier du volet social.
La chimie, les mines, la métallurgie, etc., on met tout ce beau monde aux oubliettes, car la dimension sociale de ces secteurs laisserait à désirer ? Notre économie ne marche pas au carburant des dimensions sociales ! Et cette notion, sans une vision systémique de notre économie, aurait un impact négligeable ! Elle serait manichéenne ! Il n’existe pas de réponses faciles, transformables en label et prêtes à la consommation.
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